MISS GUINÉE FRANCE: une triste histoire de la 2ème dauphine, Fatoumata Balley racontée par un Internaute

MISS GUINÉE FRANCE: une triste histoire de la 2ème dauphine, Fatoumata Balley racontée par un Internaute

À cause de son physique la nouvelle 2ème dauphine de miss Guinée France fatoumata Balley se fait prendre en partie sur les réseaux sociaux, d’après ses détracteurs elle n’a rien d’une vraie miss. Qu’elle est défigurée et masculinisée. De ce fait, un Internaute (une connaissance sûrement) a jugé nécessaire de partager sur sa page Facebook le terrible accident dont a été victime Fatoumata Balley alors qu’elle était bébé et rampait à quatre pattes.

« (..)Si je peux me permettre, je voudrais aider l’opinion publique à comprendre un peu son histoire.
Fatoumata BALLEY puisque c’est d’elle qu’il s’agit est née à Conakry, précisément à Yimbaya École en 1998, elle a même âge que le dernier fils de ma mère. Ils sont nés à la même date et nous étions voisins dans la même cour.
Sa mère est guinéenne et son père tonton Mohamed est Béninois. Dès ses premiers pas, elle a été victime d’un accident. Un jour, alors qu’elle marchait encore à quatre pattes, c’était à kissosso chez sa grand-mère, cette dernière faisait de l’indigo, sa mère aidait donc sa grand-mère dans ses tâches et contre toute attente, elle rampa vers un bidon de soude caustique qu’elle a bu sans se soucier.
Depuis la survenue de cet incident malheureux à son jeune âge, elle a énormément souffert y compris ses parents, mais comme on le dit souvent tant que y’a la vie, il faut toujours garder l’espoir… par les relations de sa mère à travers un de ses oncles qui résidait en France, Fatim rejoint l’hexagone pour se faire soigner après que toutes les tentatives eussent échoué dans tous les établissements hospitaliers de Conakry. J’ai eu la chance de visionner les vidéos de son opération, sa rééducation. Tout fut filmé par ses parents adoptifs« , raconte la jeune activiste vagabonde.

Par ailleurs, l’internaute a exprimé toute sa joie de voir fatoumata Balley sur le podium sous les couleurs de la Guinée (le pays de sa mère), au détriment de celui de son père, le Bénin. D’après lui, cette dernière n’aurait jamais eu à s’essuyer les moqueries sur son physique si elle aurait décidé de représenter le pays de son pays le Bénin lors d’un concours. Puis d’ajouter que :« c’est dommage de voir que certains guinéens soient devenus de véritables bêtes féroces ».

Ismaël Koné, rédacteur web, pour femmesafricaines.info

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