Tout d’un coup, les élèves d’une école deviennent tous fous. 

Tout d’un coup, les élèves d’une école deviennent tous fous. 

C’est un fait assez surprenant qui s’est produit au Nigeria la semaine dernière. Les élèves d’une école ont organisé « une journée de folie ». Le concept consiste à faire le fou, et ce, en enfilant les habits déchirés, marcher pieds nus ou encore porter autour du cou des déchets plastiques, des bouteilles, etc. 

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Ces élèves ont décidé de bouder les cours en déclarant cette journée « la journée de folie ». C’est un nouveau concept créé par eux-mêmes sous le regard impuissant des autorités administratives de ladite école. 

On ne sait pas, en tout cas pour l’instant, qui a donné le ton, mais le mot d’ordre a été suivi à la lettre. Tous les élèves y ont participé, chose qui rendrait la tâche de prise de sanctions disciplinaires contre ces élèves fraudeurs. 

Cet autre concept vient s’ajouter à un autre créé par les élèves d’une école ivoirienne. Ces derniers déclaraient « une journée sans sac », qui consistait de se présenter à l’école sans sac. Cependant se présentaient avec quelque chose pouvant transporter les effets scolaires. Ce qui fut fait. Certains ont débarqué avec des marmites, des bassins ou encore des seaux d’eau. D’autres avec des valises, des sacs de riz vidés. 

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Dans la barre réservée pour les commentaires, des internautes prennent plaisir à rire du délire des enfants et notent même ceux ayant fait une présentation réelle d’un fou. D’autres par contre, fustigent le comportement, plus loin, ils demandent des sanctions disciplinaires promptes pour freiner le phénomène. Sinon, d’après eux, ça risque de devenir une situation ingérable quand toutes les autres écoles voudront se lancer dans la danse. 

C’est le cas actuellement en Côte d’Ivoire et au Cameroun. Des enfants appelés microbes font vivre l’enfer à leurs concitoyens. Ils s’attaquent nuitamment à leurs biens, mais aussi interrompent les cours dans des écoles en faisant des jets de pierres pour des raisons propres à eux. 

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Quelques images de la journée de folie. 

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Ismaël KONÉ

LA RÉDACTION