Halima Gadji assume enfin sa maladie, et se fixe comme mission sensibiliser ceux qui en souffrent.

Halima Gadji assume enfin sa maladie, et se fixe comme mission sensibiliser ceux qui en souffrent.

« maîtresse d’un homme marié », c’est la mythique série qui a fait connaître la jeune actrice sénégalaise Halima Gadji à travers le continent africain notamment dans la zone francophone. Halima Gadji est une artiste comédienne sénégalaise. Longtemps les rumeurs couraient qu’elle souffrait d’une maladie mentale. Ce 08 mars 2023 elle confirme les rumeurs en assumant sa situation et se fixe une nouvelle mission.

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En fin Avril 2022, des images et vidéos d’Halima Hadji ont fait le tour des réseaux sociaux. Elle était dans un état méconnaissable. Elle était dépressive. Il se racontait sur la toile qu’elle souffrait d’une maladie mentale. Une information qui, jusque-là, n’était pas confirmée par l’artiste. Elle avait quand-même reconnu qu’elle était dépressive.

À l’occasion de la célébration de la date du 08 mars 2023  « la journée internationale des droits des femmes «, l’actrice a fait une sortie sur ses réseaux sociaux dans laquelle elle affirme être souffrante d’une maladie mentale appelée « troupe de personnalité ». D’après elle, elle souffre de cette maladie depuis son enfance.

« J’ai longtemps eu peur de parler de ma maladie par peur d’être stigmatisé et rejeté par la société », a-t-elle indiqué comme cause de son long silence sur sa maladie. Malgré ce silence cela n’a pas empêché par contre certains à tenir des propos peu déplacés en son encontre quand les images et vidéos d’elle se sont retrouvées sur la place publique en fin Avril 2022. La date à laquelle, elle a fait sa première dépression.

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« cela est arrivé. vous avez tous été témoins da ma dernière dépression » fait-elle remarquer. Puis d’ajouter : « à partir de ce moment-là, j’ai compris que c’était plus une maladie mais une MISSION pour moi. Celle de sensibiliser et d’aider mes semblables «, telle est sa nouvelle mission.

« Ce poste c’est un coming-out pour je ne me fâche plus au contraire je m’assume parce qu’au final , c’est une maladie comme une autre », a-t-elle ajouté.

Par ailleurs, il faut noter que plusieurs personnes en souffrent. D’aucuns se donnent la mort par peur du regard de la société.

Ismaël Koné

LA RÉDACTION