Une fillette en classe de 2e année violée et menacée de mort par un jeune âgée d’une vingtaine d’années.

Une fillette en classe de 2e année violée et menacée de mort par un jeune âgée d’une vingtaine d’années.

C’est dans la commune urbaine de dabola que l’acte ignoble s’est produit dans la journée du jeudi, 08 juin 2023. La victime est une fillette de huit (08) orpheline de père.

À lire aussi : La chanteuse Mary Kindia accuse ses bienfaiteurs (Balla Moussa et papa vérité) de détournement.  

Depuis le jeudi dernier, la petite fille a été violée et menacée de mort par son présumé bourreau, ce n’est que ce mardi 13 juin 2023 que l’affaire a été portée devant le commissariat central de police de dabola.

Le présumé bourreau du nom de Sambou Keïta, âgé d’une vingtaine d’années a été mis aux arrêts ce mardi 13 juin par les agents de la police.

D’après la maman de la victime, Madame Diarraye Barry interrogée sur la situation de sa fille avoue que la victime est très souffrante de l’acte. Elle se nourrit difficilement et suit présentement des soins à l’hôpital préfectoral de Dabola où elle a été référée par la police.

D’après la maman, que la fille s’était tue sur son mal parce qu’elle était menacée de mort par le jeune. C’est quand elle a insisté que la fille a parlé du viol et a identifier le jeune présumé violeur.

C’est ainsi que la plainte a été portée, et Madame Diarraye Barry demande à ce que justice soit rendue dans l’affaire en invitant les autorités compétentes à punir les auteurs de viol.

À lire aussi : Siguiri : des femmes prennent d’assaut la rue, la raison

Le responsable de l’Office de protection du genre, de l’enfance et des mœurs (OPROGEM) fait savoir que le présumé violeur mis aux arrêts restera détenu dans les locaux du commissariat jusqu’à la fin des enquêtes préliminaires.

Fait-il rappeler qu’avec cet autre cas de viol, le commissariat central de dabola enregistre déjà sept (07) cas de viols signalés depuis le mois d’avril 2023.

Aussi, que le phénomène de viol prend de l’ampleur du jour au lendemain. En dépit des incarcérations, les bourreaux ne lâchent point prise. Ce sont des fillettes d’au moins de 10 ans voire même des bébés de 6 mois qui sont leurs cibles.

Une cinquantaine d’Organisations, structures et ONGs en ont fait un combat personnel pour sauver la vie des victimes, qui parfois, en meurent suite à l’atrocité de l’acte.

Notre canal télégram pour plus d’informations

Ismaël KONÉ

LA RÉDACTION