Voici l’une des plus grandes souffrances de l’artiste Djelikaba Bintou

Voici l’une des plus grandes souffrances de l’artiste Djelikaba Bintou

L’épouse du « meilleur artiste de l’Afrique de l’Ouest » aux primud cache derrière un beau sourire une énorme souffrance qu’elle vit au quotidien. La stigmatisation. Djelikaba Bintou est, à tout bout de champ, stigmatisée sur les réseaux sociaux pour ne pas avoir enfanté. 

Alors qu’elle était enceinte quelques années en arrière, Djelikaba Bintou était impatiente de donner vie à ce cadeau du ciel. Constamment, elle partageait avec ses abonnés sur ses réseaux sociaux cette joie de se voir comme une future mère au bout de quelques mois. Des shooting photos étaient effectués à cet effet pour immortaliser cette période de grossesse. Mais, Dieu sachant faire les choses, elle a malheureusement perdu la grossesse. Depuis, Djelikaba Bintou n’est plus, jusque-là, tombée enceinte.  

Sur la toile, certaines internautes ramènent le sujet sur la table comme si elle refusait d’enfanter. Il y’a quelques heures, un internaute a réagi ainsi sur Facebook sous l’un des récents postes de Djelikaba Bintou, Mme Kamissoko. 

« On veut un enfant ! », écrit-il avec une certaine autorité. 

Et la réponse de Djelikaba Bintou n’a pas tardé à intervenir comme un coup du marteau de Thor en ces mots. 

« Accouchez ! », a-t-elle trouvé comme réponse. 

Si des internautes en rient, d’autres par contre comprennent et sont très conscients des séquelles laissées par ces genres de propos. Les victimes violent leur douleur, tristesse avec un sourire même si elles en souffrent grandement à l’intérieur. 

Le souhait le plus ardent de Djelikaba Bintou est de faire un enfant. Sa belle-sœur Ibro Gnamet en témoigne. 

« Je prie Dieu de donner un enfant à Djelikaba Bintou parce que c’est son plus grand souhait. Et je veux qu’on m’appelle aussi Tante », a déclaré Ibro Gnemet lors d’un de ses passages sur le plateau d’Oudy TV. 

En Afrique, les femmes stériles ou celles qui peinent à faire des enfants à cause des complications sont constamment stigmatisées, violentées verbalement, rejetées et réprimandées par la société. Elles sont regardées avec le coin des yeux. Malheureusement, la femme d’Azaya vit la même chose ces derniers temps sur les réseaux sociaux. 

LA RÉDACTION